Exporter plus et mieux : le défi des filières alimentaires françaises Articles

Auvergne-Rhône-Alpes / Les Assises de l'export alimentaire se sont tenues le mardi 18 novembre, alors que la France se positionne désormais au 6e rang mondial d’exportation de produits agricoles et agroalimentaires et que notre balance commerciale s'est fortement repliée. Ce rendez-vous est-il l'occasion de tirer la sonnette d'alarme ?Yannick Fialip : « En 2025, notre balance commerciale va être négative. Du jamais vu depuis 1978. On a perdu 13 milliards d'euros en dix ans au bilan des exportations par rapport aux importations. Le moment est donc grave. Les Assises, qui réunissent les interprofessions, les coopératives, les industriels, les acteurs de l'Association nationale des industries alimentaires (Ania), les pouvoirs publics… sont l'occasion de faire le point sur la situation, de déterminer quelles sont les problématiques qui freinent l'export et comment on peut collectivement redresser la barre. Les Assises ont pour vocation de mettre autour d'une table tous les acteurs des filières agroalimentaires et agricoles avec le même objectif : comment la France peut-elle exporter plus et mieux ? »Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Ici git un interQuels sont les leviers à actionner pour redonner à la France agricole sa stature de grande puissance exportatrice ?Y.F. : « À mon sens, il y a trois enjeux. D'abord, celui de la compétitivité, avec la simplification d’un certain nombre de normes françaises pour les producteurs mais aussi pour les industriels, afin d’être plus compétitifs à l'export. Ensuite, il y a la question de la conquête en arrivant à mieux s'organiser collectivement, en travaillant autour de la marque France avec le drapeau tricolore de façon à rallier tout le monde. Enfin, il y a la notion de fierté. On a des produits en France de qualité, qui répondent à des normes sanitaires, environnementales, sociales plutôt élevées. Nous devons cultiver ces qualités pour pouvoir être fiers d'exporter, car on se rend compte qu'en France parfois il y a de la gêne à exporter. Or, l'export c'est aussi un moyen de créer de la richesse économique et donc, in fine, de subvenir à notre modèle social. Plus on exporte, plus on a d'emplois, plus on a de cotisations sociales… Par ailleurs, les filières agroalimentaires qui exportent sont souvent implantées dans des territoires ruraux, là où l'agriculture reste souvent le dernier rempart de l'activité économique. »Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Certains opposent souvent le marché intérieur à l'export, comme si agir sur l'un déstabilisait l'autre. En quoi cette hypothèse ne tient pas et plus globalement pourquoi l'export constitue une opportunité non seulement pour les filières agricoles et alimentaires, mais aussi pour le consommateur français ?Y.F. : « L'export est essentiel car nous sommes avec des denrées alimentaires. Par définition, on ne sait pas si on va produire 110, 120 ou 80 %, parce que de nombreux paramètres entrent en jeu : le climat, le sanitaire, la capacité des producteurs à renouveler leur production… Mes grands-parents, qui avaient connu des périodes de disette, m'expliquaient toujours que pour être sûr d'en avoir assez, il faut toujours en avoir trop. Si on se donne l'objectif de produire 120 %, il faut donc se donner les moyens d'exporter les 20 % supplémentaires. À ce titre, l'export est un bon garant de la souveraineté agricole de notre pays. Il n'y a pas d'antagonisme entre le marché intérieur et l'export, mais plutôt une complémentarité. »Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! ! Un texte qui ne veut rien dire mais qui est nécessaire pour faire des tests pour la Ruche ! ! ! !

Exporter plus et mieux : le défi des filières alimentaires françaises

Connectez-vous

Je m'abonne