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FRUITS & LEGUMES

Entre bio et conventionnel, la troisième voie cherche à séduire le consommateur

La crise sanitaire de la Covid-19 a mis en exergue l’attachement des consommateurs aux circuits courts et aux produits sains. Entre le bio et le conventionnel, et à l’heure de l’agroécologie, d’autres signes de qualité et/ou certifications émergent. Mais sont-ils bien perçus par le grand public ? Éléments de réponse avec le CTIFL.

Entre bio et conventionnel, la troisième voie cherche à séduire le consommateur
Le point fort de la gamme « zéro résidu de pesticides », c’est sa bonne perception chez les consommateurs.

Si l’agriculture biologique a été pionnière de la thématique environnementale et continue de convaincre chaque année toujours plus de consommateurs et de producteurs, d’autres démarches participent désormais à la transition agroécologique. Entre le bio et le conventionnel, une nouvelle offre émerge sur les étals avec des produits siglés HVE (haute valeur environnementale), ZRP (zéro résidu de pesticide), nommées « troisième voie », ces démarches nécessitent un important travail de pédagogie et de communication pour être comprises des consommateurs, tout en apportant preuve de réussite et assurance de traçabilité sur les engagements pris. Visibilité et compréhension de l’offre en points de vente sont donc essentielles. Lors d’une webconférence le 1er février, le Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes (CTIFL) a apporté quelques éléments sur les perspectives de développement de ces nouveaux labels.

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